Pour vous…
« Lorsque jour se termine, et que nuit fait grise mine, mon ventre crie famine.
Nul besoin de miroir pour espérer me voir : dehors, tous les chats sont noirs…
Alors, dors mon bel ami malade, fais de beaux songes et puisses-tu te réveiller tel que je fus hier ou serai encore demain (à la même heure) :
Un homme d’esprit pour qui l’argent n’a aucun goût, aucune valeur ; le souffle de ta vie passée suffisant à son éternel bonheur ! »