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Un peu de musique
En lien je mets le myspace d’un groupe que j’aime particulièrement, La boite à bazar. Les deux chansons qui sont sont pleines d’entrain et de bonne humeur. J’espère que ça vous plaira.
En lien je mets le myspace d’un groupe que j’aime particulièrement, La boite à bazar. Les deux chansons qui sont sont pleines d’entrain et de bonne humeur. J’espère que ça vous plaira.
Bonjour à tous et toutes,
La grande solitudes dans laquelle la bulle des TCA vous enferme me fait vous demander si vous aimeriez avoir un espace pour vous, sur ce « blog », comme un mini forum, afin que vous puissiez communiquer les uns avec les autres.
Qu’en pensez vous ?
Je vous remercie pour votre réponse, à bientôt et bon dimanche !
Bonjour,
Je suis une ancienne étudiante en psychologie, en aucun cas je ne suis médecin ni psychologue. Je tente de trouver des articles afin de mieux comprendre l’anorexie masculine, et réfléchir sur ses causes, ainsi que sur ses traitements. Merci à tous pour votre visite, vos commentaires, témoignages et conseils.
Je profite d’un commentaire de Monologueneduo, afin de vous noter ci après la différence entre anorexie et anorexie mentale. C’est la définition trouvée sur Wikipédia (voir « liens »).
L’anorexie est un symptôme observé en médecine qui correspond à une perte de l’appétit.
==> Ce symptôme peut s’observer dans de très nombreuses maladies organiques et psychiatriques. Lorsqu’il est associé à une asthénie et à un amaigrissement, on parle d’altération de l’état général. En psychiatrie, l’anorexie est un des symptômes principaux du syndrome dépressif. Quelle qu’en soit la cause, il peut conduire à la malnutrition et à ses complications.
Attention : paradoxalement, l’anorexie mentale, n’est pas une anorexie au sens classique. En effet, l’anorexie mentale est une maladie qui se caractérise notamment par une perte de poids importante, mais la perte de poids est liée à une restriction alimentaire volontaire, alors que l’appétit est conservé.
Dans l’anorexie mentale, le patient lutte contre la faim, tandis que dans l’anorexie, il a perdu l’appétit.
Bonsoir,
Un jeune homme a eu la bonté de me donner de ses nouvelles. Il m’autorise à mettre le lien vers son blog ici, je vous remercie de le visiter. Il a 31 ans et souffre d’anorexie depuis 6 ans. Il tient son blog avec courage, car il n’a pas d’ordinateur, et se rend chaque jour dans un cyber café pour écrire. Il témoigne aussi afin que les jeunes filles se rendent compte du danger du vouloir maigrir à tout prix.
Beaucoup de souffrance, mais aussi des moments d’espoir.
Je suis de tout coeur avec vous, merci de m’avoir écrit.
J’ai trouvé sur ce blog une histoire inventée qui vous est dédiée. Elle est rigolote, et en même temps, si vraie que je pense que vous l’aimerez.
Merci à vous de venir lire les articles sur mon « blog », merci de laisser vos commentaires.
Vous pouvez lire ici
A bientôt !
Bonjour,
J’ai reçu un témoignage qui a apporté un bémol à un article que j’avais mis en ligne. Cet homme, anorexique, ne fait pas du sport pour avoir un corps musclé. Pour lui, avoir des muscles c’est grossir. C’est prendre du poids. Or il ne veut surtout pas grossir. Ni en muscles ni en graisse. Donc s’il fait du sport, c’est pour continuer à maigrir, à éliminer les calories.
Cela change donc les données : cette obsession de la minceur, de la maigreur, est donc aussi présente chez les garçons. Bien sur, ce n’est pas pour rentrer dans le moule des canons de la beauté. La minceur, la peur d’être gros, c’est en réaction au facteur qui a déclenché l’anorexie. Dans le cas de ce jeune homme, c’est une personne obèse qui, en lui faisant du mal à un moment de sa vie professionnelle, a fait ressortir les souffrances subies lors de sa jeunesse. Souffrances qu’il avait enfoui dans son inconscient.
Je tiens à remercier ce jeune homme de m’apporter son aide, car il m’aide à y voir un peu plus clair. Son aide, je sais, pourra vous être utile aussi.
Merci à tout ceux qui pourront laisser un commentaire ou un témoignage.
Vittoria Pazalle témoigne de son anorexie. Elle donne des conseils afin de pouvoir avoir les bonnes attitudes, ne pas tomber dans la culpabilité.
Elle insiste sur le fait qu’il ne faut pas vouloir faire grandir trop vite son enfant, qu’il faut lui redonner la place qu’il doit occuper.
Et qu’il faut du temps, du temps pour dialoguer, être au plus près de lui, et ne pas le juger.
Extrait : « Oui, nous avons incontestablement besoin de vous, mais surtout pas de critiques, jugements, gestes brusques, éclats de voix, cris, menaces ou chantages, car nous-mêmes nous nous autocritiquons déjà en permanence et nous dévaluons à un point tel que nous ne sommes même plus capables de nous regarder en face. »
Vous pouvez lire ici son article, diffusé sur le site SISYPHE.
Si vous avez des conseils supplémentaires, des infos, merci de laisser votre aide en cliquant sur le chiffre à côté de « commentaire ».